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Activisme - le recours à la violence n'est plus un tabou

Note N° 17, octobre 2021


Un tiers des moins de 35 ans sont prêts à participer à des actions illégales et plus ou moins violentes comme « occuper de force une entreprise », « dégrader des panneaux publicitaires » ou « pratiquer des « microsabotages ». C’est ce que révèle le sondage réalisé par l’Institut Harris Interactive pour l’Institut du dialogue civil.


Cette aspiration pour un activisme radical commence à bouleverser le paysage et les pratiques des organisations militantes traditionnelles, notamment dans le champ de la défense de l’environnement ou du bien-être animal.

Comment les thèses de certains universitaires comme Andréas Malm, Geoffroy de Lagasneyrie, Francis Dupuis-Déri… participent-elles à relégitimer la violence politique ? Comment leurs discours finissent-ils par s’imposer chez les militants en poussant même les modérés à s’engager dans des actions de plus en plus radicales ?


La violence, y compris physique contre des responsables d’entreprises, est désormais acceptée et revendiquée par une avant-garde extrémiste au nom d’un prétendu « état de nécessité » qui permet de rendre acceptables à leurs yeux les actions les plus violentes.


Comment ces évolutions vont-elles bouleverser le paysage des associations et des ONG traditionnelles ? Quels types de menaces font-elles peser sur les entreprises, les entrepreneurs et leurs collaborateurs ? Quel est le profil de ces nouveaux hérauts de la violence ? Comment l’opinion publique et les consommateurs perçoivent-ils ce type d’action ?


Voilà quelques-unes des problématiques auxquelles la note numéro 17 de l’Institut du Dialogue civil tente de répondre.


Activisme, le recours à la violence n’est plus tabou - une note de l’Institut du Dialogue civil, octobre 2021, 12 pages



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